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La petite Julie

Stéphanie Chartier et sa compagne ont suivi un parcours PMA qui a donné naissance à leur enfant. Devant la difficulté de trouver des modèles de familles homoparentales, l’autrice décide de créer sa propre collection qui prendra naissance et grandira au rythme de sa petite fille.

   Il s’agit de la première rie de livres illustrés pour petits enfants (18 mois-ans) parlant de Julie, 3 ans, vivant avec avec deux mamans.
   Julie deux mamans mais ce n’est pas le sujet. 

   Elle vit des aventures du quotidien des jeunes enfants, ses deux mamans sont évidement là mais dans le cor. L’écoute des émotions y sont abordés le plus simplement possible afin que les enfants s’y retrouvent.
 

   L’idée était de « banaliser » l’homoparentalité, la normaliser le plus possible, mais également d’étoffer l’offre LGBTQ+ afin que les enfants puissent s’identifier.
 

   Le premier livre est sorti fin mars 2021 et vous pouvez le trouver, ainsi que les suivants ici :

   Où trouver La petite Julie 
   Mais également sur commande dans toutes les librairies de France, Suisse, Belgique et Le Luxembourg.
 

  


Philomène m'aime...

Tout le monde aime Philomène, mais elle… qui aime-t-elle ? Quand Philomène se balade à vélo, tous les garçons qu'elle croise sont inéluctablement à côté de la plaque ! Les frères Lasserre, pourtant des bagarreurs de première, décrètent une trêve, Prosper Laguigne oublie son bombardon et toute l'équipe de foot se désintéresse du ballon ! Mais le coeur de Philomène, lui, ne bat pour aucun garçon… Il bat pour… pour qui ?

Un livre pour enfants (dès 6 ans) au texte amusant et plein d’esprit, sur l’histoire d’une petite fille dont tous les garçons sont amoureux mais qui préfère offrir son cœur à son amie Lili.
Traitant avec légèreté et humour du thème de l'homosexualité, l'auteur rappelle que "le coeur a ses raisons que la raison ne connait point" et qu'aimer ne se commande pas !
Les illustrations occupent une grande place au sein de cet album et amuseront certainement les plus jeunes, notamment en représentant les métaphores du texte, parfois trop implicites pour de jeunes enfants (par exemple, Philomène sème des cœurs derrière elle… et en effet, l'illustration montre les garçons les ramassant à l'épuisette !).


Philomène m'aime, de Jean-Christophe Mazurie, Editions P'tit Glénat, 10€

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La fête des deux mamans

Prunelle a deux mamans, mais ce jour-là, au centre aéré, l’animatrice Leïla n’y pense pas, et alors qu’il est question de confectionner un collier pour la fête des mères, elle ne lui donne que de quoi en faire un. La fillette, pourtant encouragée par une camarade, n’ose pas réclamer. Elle jette le cadeau et, rentrée chez elle, c’est le psychodrame : séance de pleurs et explications. Vite résolu, car il n’y a aucune volonté de mal faire, juste un oubli de la part de l’animatrice.

 

La fête des deux mamans, d’Ingrid Chabbert & Chadia Loueslati

Editions Les petits pas de Ioannis, septembre 2010

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Maman, Mamour, ses deux mamans : Grandir dans une famille homoparentale

1985 : Deux jeunes femmes s'aiment et désirent fonder une famille. Mais comment ?
2006 : Leur fille a maintenant vingt ans. Elle est belle, heureuse... et bien armée pour la vie.
Entre-temps, il aura fallu aux deux mères beaucoup d'intelligence, de courage et d'amour pour faire face, jour après jour, à son éducation dans une situation socialement inhabituelle.
Entre émotion et réflexions, l'auteure nous offre le témoignage d'une expérience parentale singulière, finalement toute simple, simple comme tout ce qui est vrai.



Maman, Mamour, ses deux mamans, de Brigitte Célier
Editions Anne Carrière, Mars 2008

 
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Les lettres de mon petit frère

Mathieu est en vacances dans une maison que ses parents ont louée au bord de la mer. Il y a Sylvie, Antoine, le bébé, papa, maman, et surtout il n’y a pas Christophe, le grand frère à qui tout le monde pense, mais qu’il ne faut pas nommer, parce que maman est très en colère contre lui. Mathieu écrit en cachette à Christophe, qui est en Italie. Il raconte ses journées, en insistant sur l’ennui que peut ressentir un enfant d’une famille bourgeoise à subir des vacances au bord de la mer, avec un papa qui ne sait même pas piloter le bateau qu’on a loué. On pense très fort que le pauvre chéri serait plus heureux à passer ses vacances en banlieue de Lyon ou de Moulins, par exemple. Bref, tout va mal, le mur menace de s’écrouler sur les estivants, et il faut les persuader par tous les moyens de ne pas monter dessus quand la marée les accule. Il y a quand même Sophie, une fille que Mathieu rencontre à la pharmacie, et qui fournit l’inévitable amour de vacances nécessaire au frisson du jeune lecteur. Bref, Mathieu fera tout pour crever l’abcès, et que Christophe et Florian soient enfin accueillis, et que tout soit bien qui finisse bien.


Les lettres de mon petit frère, de Chris Donner
Editions Ecole des loisirs, 1991, 4,90€

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Le secret d’Ugolin

« À papa. On est tous différents, mais certains sont plus différents que d’autres. » La dédicace de ce bel album en est sans doute la phrase la plus explicite. Le thème est la différence en général, et chaque petit lecteur y trouvera une réponse à ses préoccupations du moment, que ce soit le racisme ou le végétarisme. C’est un outil apte à ouvrir un débat qui ne soit pas limité d’entrée à la seule question du racisme, par exemple. Ugolin est un chien qui préfère le poisson à la viande. Cela n’est qu’un signe de son attirance pour le monde des chats, êtres malfaisants que ses parents lui recommandent de haïr. Il se prend d’amitié pour un chat : « Ils se regardaient parfois, Ugolin et ce chat à rayures, comme on se regarde entre amoureux. » Et voici notre chien qui ronronne, se passe une patte derrière l’oreille, et s’en va rejoindre son ami chat. La dernière image de l’album est sans parole, elle représente une fusion des deux animaux, qui partagent bouche, œil et nez. Les images mêlent le monde des hommes et le monde animal, avec des collages de vieux journaux qui évoquent sans doute les choses sérieuses qu’Ugolin et son ami fuient. Les seules images qui ne contiennent aucune allusion au monde des hommes sont précisément celles qui montrent le chien et le chat seul ou ensemble.



Le secredt d'Ugolin, de Béatrice Alemagna (dès 6ans)
Edition Seuil jeunesse, 2000, 36 p., 9,9 €

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La nuit du concert
 
Tout va bien pour Erick, il a dix-huit ans, il est en terminale au lycée, et comme tout ado qui se respecte, il a sa bande et sa petite copine, Dill. Son meilleur copain Jack sort avec Nicki, une allumeuse qui pose à l’anticonformisme. Il y a ses parents, son père qui raconte des blagues parce qu’il a du mal à communiquer, et sa mère qui s’y prend mieux. Il y a aussi le chien Oscar, et son frère Pete, prof et auteur d’une seule nouvelle qui a eu beaucoup de succès. Nous sommes dans la classe moyenne américaine, tout ce petit monde est francophile et cultivé. Quand il était petit, Pete avait fait à Erick un cerf-volant de nuit : « les cerfs-volants de nuit sont différents, ils ne pensent pas qu’il fait noir. Ils montent d’eux-mêmes, tout seuls, a dit Pete, et ils n’ont pas peur d’être différents ». Tout va bien jusqu’au concert de Bruce Springsteen à New York, pour lequel Pete a réussi à avoir des places. C’était une idée de Nicki. Pendant la nuit du concert, Nicki drague Erick. Il s’apprête donc à trahir son meilleur ami et sa copine, mais son père rentre à ce moment-là et lui apprend que Pete a le sida. Nous sommes en 1986, et ça ne pardonne pas, la maladie évolue rapidement, les parents font ce qu’ils peuvent pour accepter la double nouvelle de l’homosexualité et de la maladie de Pete, mais ils ne peuvent éviter que la nouvelle se propage, avec les ravages évidents dus à la mauvaise information, aux préjugés et à la bêtise ordinaires. Erick cache sa nouvelle vie à Pete : « je n’aurais pas pu supporter de dire à Pete que toute une nouvelle partie de ma vie avait commencé, juste au moment où la sienne commençait à prendre fin » . Il n’est pas au bout de ses peines, car la maladie de son frère, qu’il le veuille ou non, contamine ses relations avec autrui.

La nuit du concer de M.E Kerr
Edition École des Loisirs, Médium, 1986, 7 €

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Le cahier rouge
 
Quelques années après l’accident de moto mortel de son frère David, son aîné Ugo, étudiant en médecine, reçoit un cahier rouge retrouvé dans l’appartement qu’ils partageaient. Ce cahier contient des citations qui l’amènent à reconsidérer la personnalité de son frère. Il reprend contact avec les amis et la petite amie de celui-ci, Malika. S’agissait-il d’un suicide ? Il s’avère que Malika n’était pas sa petite amie, mais sa confidente, et Ugo apprend qu’il était un modèle pour son frère. David n’osait pas lui dire qu’il était homo, par peur de le décevoir. Quelques extraits. Une citation de Françoise Sagan sur le suicide met la puce à l’oreille d’Ugo. Un beau dialogue entre Ugo et Malika, où elle lui apprend qu’ils étaient juste confidents, rapprochés par un certain rejet familial, lui homo, elle « fille arabe » : « L’incompréhension, l’intolérance inconsciente parfois de ceux qui vous aiment sont lourdes à porter ». Retour sur un épisode de l’enfance, où Ugo avait cru prendre la défense de David, en criant à ses camarades : « Je vous interdis. Mon frère n’est pas un pédé ! » 

Le cahier rouge de Claire Mazard
Edition Syros jeunesse, Les uns et les autres, 2000, 7,5 €

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Dis Maman...
 
Le lieu de l’action est une salle de classe ; la maîtresse propose de « dessiner votre arbre généalogique ». Théo s’y met, et en lieu et place des deux parents attendus, place « maman » d’un côté, et « maman lili » de l’autre, ce qui laisse supposer que la première a un statut différent de la seconde, celui de « mère biologique » ou « génitrice » sans doute. Sa voisine Pauline se moque gentiment : « mais c’est pas possible ta famille ! » La maîtresse réagit immédiatement, et donne une leçon digne du Collectif HomoEdu, en précisant que si « pour faire un enfant, il faut un homme et une femme », « il y a plein de façons de composer une famille », avec six schémas à l’appui montrant des familles de 1 à 4 adultes des deux sexes, avec de 1 à 3 enfants, ce qui dresse un panorama exhaustif de l’alterparentalité, polygamie y compris. Cette leçon improvisée est suivie des réactions d’assentiment des élèves : « C’est vrai, moi j’ai été adopté », etc. Théo présente ensuite sa camarade Camille à ses mamans.

Cet album modeste témoigne d’une véritable réflexion sur la pédagogie.


Dis maman de Muriel Douru 7€90 chez Amazon

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Jean a deux mamans...

Jean a deux mamans. Une maman ou deux mamans, est-ce vraiment si différent ? Oui, sûrement. Mais qu’en pense Jean ?

Ophélie Tixier
Loulou Et Compagnie, 2004  7€50





 

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Je me marierai avec Anna
 
La mère de Cora veut toujours savoir si elle a un amoureux. Elle veut lui flanquer le fameux Bastien, pour la simple raison qu’elle est amie avec sa mère. « Un jour, pour qu’elle arrête de m’énerver, je lui ai dit la vérité. […] — Quand je serai grande, je me marierai avec Anna. » D’abord surprise, sa mère en appelle à son père et à la logique (l’impossibilité de faire un bébé), mais Cora a réponse à tout, ça fait longtemps qu’elle cogite : « Je ferai un bébé toute seule. Anna aussi. » La maman s’énerve, alors Cora s’enferme dans sa chambre, décidée à jouer la fille martyre. Elle imagine déjà ses parents en prison ; mais la fin sera plus optimiste…

Thierry Lenain – Aurélie Guillerey
Nathan, 2004   5€49 chez amazon
 



 

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Papa porte une robe
 
Jo Cigale est un boxeur renommé, il est veuf et vit seul avec son fils Gégé, 7 ans. Suite à un mauvais coup, il ne peut plus boxer, il entend un bruit dans sa tête, et le médecin lui conseille ironiquement : « Vous n’avez qu’à danser, monsieur Cigale ». Mais Jo le prend au mot, et grâce à un ami, Hervé Musicol, il remplace une danseuse, avec succès. Il prend le nom de scène de « Marie-Jo ». Mais le bruit dans sa tête fait que Jo oublie d’enlever sa robe, et sur le chemin de l’école, cela suscite les quolibets des camarades de Gégé. Voilà qu’une voisine richissime perd son chat, et que le capitaine des pompiers, malgré sa « grande échelle », est impuissant à le retrouver. Jo passe par là pendant la nuit, grimpe à l’arbre et sauve le chat, perdant son « escarpin rouge carmin ». La voisine charge le brave capitaine de retrouver le pied qui correspond à cet escarpin de géant, pour le « couvrir de millions ». Au bout de mois de recherche, le pompier sonne à la porte de Jo, où Gégé lui explique que la propriétaire de la chaussure est son papa. Cela ne démonte pas notre pompier, qui s’agenouille devant Jo pour prendre son pied entre ses mains et vérifier qu’il s’agit du bon pied. Le maire conclut sur ces mots : « Mes chers administrés, la femme porte la robe et le pantalon, pourquoi n’en serait-il pas de même pour les garçons ? »


Piotr Brasony – Maya – Bumcello
Seuil, 2004 (livre CD) 22€

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Je ne suis pas une fille à papa !
 
Lucie a deux mamans, Delphine et Solange. Elle a du mal à l’expliquer : ce ne sont pas des mamans en alternance, comme certains de ses camarades, mais « deux mamans qui s’embrassent ». Lucie va avoir 7 ans, et elle est terrorisée parce que ses mamans lui ont dit qu’à l’âge de sept ans elles lui révèleraient laquelle est sa « vraie maman ». Or elle ne veut pas. Elle invente donc de toutes pièces des méchancetés censées avoir été prononcées à l’école, elle joue les malheureuses, mais l’effet est pire que le mal, car Delphine quitte brusquement la maison — c’est la réponse — comprenant qu’elle est un obstacle à l’épanouissement de la fille de Solange. Catastrophée, Lucie demande à ses camarades de l’aider à faire revenir Delphine…

Christophe Honoré
Edition Thierry Magnier, 2001  6€



 

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Tout contre Léo
 
P’tit Marcel est le petit dernier de quatre frères de 21, 19 et 17 ans. Tristan, Léo et Pierre. Le récit se situe quatre ans après L’affaire P’tit Marcel, paru subséquemment chez le même éditeur en 1998 dans la collection « Mouche », dans lequel il n’est pas question d’autre chose que de stricte hétérosexualité, et où rien ne distingue encore Léo de ses frères, sauf peut-être sa franchise et son humour. Marcel n’a que dix ans, il voudrait bien savoir ce qui justifie l’écart entre Pierre et lui. Mais il jouit en égoïste de son statut de petit dernier. Un soir, alors qu’il est venu « faire le bisou du soir » (p. 20), il surprend un conseil de famille au cours duquel Léo révèle qu’il a le sida, et refuse de dire comment il l’a « chopé ». Tout le monde s’accorde pour décider : « P’tit Marcel ne doit rien savoir ! » Alors Marcel se met à faire des bêtises en entraînant son copain Yvan. Comme il évoque le sida sans parler de son frère, Yvan met le doigt dans la plaie : quelqu’un qui a le sida est un « gros pédé ». « C’est pas un pédé mon frère, c’est pas un pédé » proteste Marcel qui fugue chez Mémère, incapable de répondre à ses questions. Léo emmène Marcel pour une dernière escapade à Paris, où il lui parlera, sans aucun détail, d’un certain Aymeric, et lui demandera de « balancer de la vie plein la baraque » quand il sera mort.



Christophe Honoré
Neuf, L’école des Loisirs, 1996
(8€)
Dès 9 ans

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Dans la peau d'un jeune ado
 
Notre « jeune homo » vient d’avoir 14 ans, il fréquente le « collège Jean Cocteau » et se sent différent des autres garçons. L’auteur s’adresse à lui à la deuxième personne. Par exemple lorsqu’il entend des mots homophobes, « tu te sens bizarrement coupable, un peu comme s’ils t’étaient destinés ». Il s’entend très bien avec les filles, et a même sa copine attitrée, très garçonne, avec laquelle il sort et flirte en songeant à Tom Cruise. Le jeune homo connaît toutes les affres par lesquelles nous sommes plus ou moins passés, la lecture compulsive de tous les documents qui traitent du sujet (on sent que le documentaliste du « collège Jean Cocteau » n’est pas un fidèle du Collectif HomoEdu), la stratégie pour acheter discrètement une revue gay, les angoisses devant les émissions ou le prêtre qui culpabilisent sous prétexte de banaliser ou de rassurer (« le plus souvent ce n’est qu’un passage »), les émotions dans les vestiaires, les tentatives avortées d’en parler à maman, avec les perches qu’on tend en vain, la masturbation et les fantasmes, le passage à l’acte avec la meilleure copine qui n’a pas encore compris qu’elle est lesbienne et que ça arrange bien aussi d’avoir une couverture hétéro, le baiser volé à l’étudiant qui donne des cours de maths et prend peur parce qu’il n’a que 14 ans, le frère qu’on croyait homophobe mais qui se révèle super-cool au moment du coming-out, pas si terrible qu’on croyait, jusqu’à la première aventure avec l’inévitable mec compliqué dans sa tête… Bref un portrait qui est celui de tout le monde sans être celui de personne, mais qui ravira tous les jeunes lecteurs, qu’ils se sentent ou pas homos !
 
Hugues Barthe
Hachette littératures  14€

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J'ai deux maman, c'est un secret...

"J'ai trois ans quand ma mère quitte mon père... pour une femme. Je vais donc vivre pendant douze ans, avec mes deux mamans, sans rien soupçonner. Et c'est par hasard, à quinze ans, que j'apprends brutalement la vérité. Aujourd'hui, grâce à ce livre, je vais enfin pouvoir « en » parler avec ma mère. Quelle sera sa réaction ?
Ce livre est un témoignage : Claire Breton a 15 ans quand elle réalise combien l'homosexualité de sa mère et de sa « tante » a pesé sur son équilibre. Ce livre est aussi une enquête. L'auteur a interrogé des enfants élevés par un couple homosexuel. Ils sont au moins 100 000 en France, aujourd'hui. Elle a voulu savoir s'ils avaient traversé les mêmes difficultés, s'ils avaient inventé les mêmes mensonges pour protéger leur famille et se protéger eux-mêmes du regard des autres."

 
Claire Breton
Leduc.S éditions
2005 16€90
 

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