Le parlement a adopté définitivement le 25 janvier 2022, la proposition de loi LREM qui cible les "thérapies de conversion". Les 142 députés présents ont voté pour l'adoption du texte issu d'un accord entre députés et sénateurs, et qui avait déjà reçu le soutien unanime de la Haute assemblée, le 20 janvier.
Formellement, les "thérapies de conversion" sont déjà punissables via un grand nombre d'infractions : harcèlement moral, violences ou exercice illégal de la médecine, etc.